Un de mes châteaux préférés, Diane de Poitiers y a vécu.
François 1er meurt d’une septicémie à Rambouillet, le 31 mars 1547. Moins de trois mois après, son fils Henri II offre Chenonceau à sa favorite Diane de Poitiers, duchesse de Valentinois et jeune veuve du vieux maréchal de Brézé. Cette donation est confirmée par lettres patentes à Saint germain en Laye, au mois de juin 1547. Diane de Poitiers fait aménager sur la rive droite du Cher, le jardin qui porte son nom. Au printemps 1551, cet espace de deux hectares est protégé des inondations par une levée de terre. Le terrain est entouré de fossés, renforcé avec des murs en pierres, eux-mêmes soutenus par des contreforts en maçonnerie. Les déblais versés à l’intérieur permettent l’élévation de terrasses et la réalisation d’un parterre. Ce chantier monopolise une main d’œuvre considérable. Au début de 1552, la duchesse de Valentinois fait appel aux grands seigneurs et possesseurs des jardins de la Touraine pour les plantations, comme Jean Babou de la Bourdaisière , Jean Paul de Selve ou son cousin Simon de Maillé-Brézé, qui délèguent leurs jardiniers. La même année, Diane de Poitiers reçoit dans son nouveau domaine, le roi Henri II, Catherine de Médicis et toute la Cour. Elle confie à l’architecte Philibert Delorme, alors dans toute la faveur royale, le soin de construire un pont reliant le château à la rive gauche afin d’y créer de nouveaux jardins et d’accéder à de plus grandes chasses. Ce pont fait partie des plans originels des Bohier. Les travaux commencent au printemps 1556 et après bien des vicissitudes, s’achèvent avant la fin de l’année 1559 pour un coût estimé à plus de 9 000 livres. Mais le roi ne pourra pas inaugurer cet ouvrage, il est mortellement blessé à Paris lors d’un tournoi le 30 juin 1559, par le capitaine de sa garde écossaise, Gabriel 1er de Montgommery.
Source Wikipédia
Cet endroit a l’air assez dingue !
C’est mon château préféré il est superbe.